Découvrez une sélection de recettes intemporelles, des classiques dont on ne se lasse pas tel que les lasagnes ou le couscous.
Tout a commencé par un rôti de 850 grammes qui me regardait avec l’air de dire : “Alors, tu sais quoi faire de moi ?”.
Spoiler : pas vraiment.
Mais j’ai improvisé, j’ai mis la cocotte au four comme si j’avais gagné Top Chef, j’ai balancé les chanterelles comme Salt Bae, et le riz s'est invité dans l’assiette comme si c’était la star du plat.
Au final ? Un plat digne d’un resto…
Le poulet dominical qui réconforte lorsque l'automne arrive. Il est gras, il est doré, un peu comme toi à la fin de l'été.
Les blancs sont tendres, les pilons croustillent, et les herbes font croire que c'est sain.
Et non, ce n’est pas “juste” de la purée. C’est la purée. Celle qui fait qu’on oublie le rôti à côté, qu’on se ressert “juste un peu” trois fois, et qu’on gratte le fond du plat avec un bout de pain (pas de jugement ici).
Prépare-la avec amour, sers-la chaude, et regarde-la disparaître. C’est simple, la purée, c’est l’accompagnement qui vole la vedette.
Derrière ses airs innocents, cette recette cache un super pouvoir : remettre les choses en ordre… naturellement. Un plat savoureux, léger, et curieusement efficace pour retrouver une certaine harmonie intérieure. Et en plus, c’est si bon qu’on en reprendrait même sans excuse digestive.
Un plat gourmand qu'on aime accompagner d'une purée de pommes de terres.
"una mattina mi sono alzato
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
una mattina mi sono alzato
E ho trovato l'invasor"
Pas facile de trouver une introduction de recette quand c'est le 3ème risotto du blog.
Ce poulet a pris un bain de citron et s’est fait masser à l’ail avant de passer au four. Résultat : une peau dorée, une chair fondante et des arômes qui font danser vos narines.
Simple, crémeux, et vaguement prétentieux : le risotto de crevettes, ou comment se prendre pour un chef avec une louche et un peu de culot.
Crémeux, parfumé, champignoné...
Tu tousses ? Manges un couscous. T'as mal au pouce ? Mange un couscous.
Un grand classique de la cuisine italienne. Je vous livre ici en exclusivité les deux secrets de ce plat succulent :
I- Plus la sauce bolognaise mijote longtemps, meilleures seront vos lasagnes.
II- Faire des lasagnes sans sauce béchamel est interdit par l'article 41.2 du code de déontologie culinaire.